mardi 19 novembre 2013

Amour : comment reconnaître un homme amoureux ?

Votre cœur balance fort, très fort pour ce nouveau prétendant rencontré en vacances… mais vous ne savez pas si vous pouvez craquer ? Vous avez besoin de savoir s’il est vraiment amoureux ? Notre expert sexologue, le docteur Catherine Solano, décrypte pour vous ce qu'est un homme amoureux.


Amour : comment reconnaître un homme amoureux ?

Un homme amoureux est patient

Un homme amoureux est patient… pour tout ! Surtout, il est capable de vous faire la cour… longtemps, très longtemps. Mais, attention ce n’est pas parce que vous avez craqué le premier jour, que vous n’avez pas trouvé le bon numéro... Mais, si vous doutez, faîtes le attendre et vous saurez… que cet homme-là, il est amoureux. Même s’il avait établi une stratégie pour vous séduire, il pourra être pris à son propre piège. Et oui, en vous faisant la cour, il risque de tomber amoureux. En effet, au fil du temps vous aurez créé des liens et de l’attachement.
Sans aucun doute, si vous cherchez vraiment un amoureux, rien de tel que de faire durer le plaisir, pour alimenter le désir et les sentiments.

Un homme amoureux est très serviable

Un homme amoureux se sent tel un chevalier servant. Il a besoin de vous aider… une ampoule, une roue à changer, venir vous cherchez au boulot. Il ne vous refusera rien pour vous montrer qu’il est indispensable … profitez-en, cela ne dure pas une éternité ! Attention, si un homme n’est pas serviable au début de votre relation, partez en courant… Il ne le sera jamais !

Plaisir : 10 questions que l'on aimerait poser aux filles

Désir, plaisir, orgasme, excitation, sex toys… Dans son ouvrage, Véronique Aïache décrypte les questions les plus fréquentes des hommes sur l’orgasme féminin. 

Plaisir : 10 questions que l'on aimerait poser aux filles

Quel est la différence entre le plaisir et de désir féminin ?

La même différence qu’entre plaisir et désir masculin dans les mêmes circonstances amoureuses! Une femme peut prendre du plaisir à faire l’amour sans atteindre l’orgasme. La femme trouve son plaisir dans le fait d’être désirée, câlinée, embrassée, prise dans ses bras… Et, toutes ces sources de plaisir peuvent se transformer en désir sexuel.
Mais il est important de ne pas oublier les préliminaires, car les femmes ont parfois besoin de plus de temps que les hommes pour éveiller leur désir.

Est-ce qu’une femme pense vraiment que ce n’est pas grave, quand ce qu’on lui fait ne lui procure aucun effet ?

Si elle est amoureuse oui, car, même si elle est frustrée, elle aura trouvé son plaisir autrement. Dans le fait d’être dans vos bras, d’avoir vibré sous vos caresses, que vous ayez, vous du plaisir. Mais ce n’est pas une raison, pour ne pas « faire mieux la prochaine fois ». Si la femme n’éprouve pas de sentiment pour vous, cela sera une manière aimable de vous dire, merci au revoir sans vous culpabiliser ou vous vexer…

Cunnilingus : les questions que l’on n’ose pas poser

Plaisir, orgasme, clitoris,  IST, épilation, techniques… Testez vos connaissances sur le cunnilingus.

cunnilingus


On peut attraper des IST avec un cunnilingus  
La  personne qui pratique le cunnilingus peut attraper des IST, comme l’herpès, la blennorragie et le papillomavirus, un virus très fréquent qui peut causer le cancer de la gorge. En revanche il n’existe pas de risques d’attraper le SIDA sauf pendant les règles. La seule manière de se protéger est d’utiliser une digue dentaire. Catherine Solano, sexologue rappelle et insiste : «Ce qui augmente la probabilité d’attraper une IST c’est la multiplicité des partenaires».

On peut pratiquer le cunnilingus pendant les règles

Oui. Il est même possible de ne pas être gêné par les règles. Il suffit de concentrer son action sur le clitoris et de ne pas « jouer » avec le vagin.  

L’épilation intégrale permet d’avoir plus de plaisir pendant un cunnilingus

Non. La zone la plus concernée par le cunnilingus est le clitoris où n’y a pas de poils. De plus, il est recommandé d’écarter les grandes lèvres pour bien dégager le clitoris. Mais votre partenaire peut se sentir plus à l’aise si votre sexe est épilé. «La mode de l’épilation intégrale a changé ma vie. Depuis, je suis beaucoup plus fan du cunnilingus» explique Stéphane.

Toutes les femmes aiment le cunnilingus

Non. Certaines femmes sont extrêmement réticentes à cette pratique sexuelle. Cela s’explique soit par une histoire personnelle traumatisante soit par un dégout de soi. La pudeur, voire la honte de leur propre sexe bloquent certaines femmes. Elles peuvent avoir peur de leurs odeurs intimes, trouver leur sexe pas beau, pas propre. « Je déteste faire l’amour et en particulier un cunnilingus à ma copine quand elle sent le propre. J’ai l’impression de lécher un flacon de shampoing ! Alors que son odeur m’excite énormément» raconte Jérôme.

Si votre partenaire semble gênée par le cunnilingus,  vous devez l’apprivoiser. En lui dévoilant votre désir, votre attrait pour son sexe, et lui expliquant le plaisir que vous avez envie de lui donner, en prenant votre temps. Le cunnilingus est une pratique sexuelle très intime qui demande d’avoir une extrême confiance en son partenaire. Vous pouvez déposer régulièrement de légers baisers sur le sexe de votre partenaire en la complimentant. Prenez votre temps. Et n’échangez jamais un cunnilingus contre une fellation !

lundi 18 novembre 2013

5 positions du Kamasutra pour tomber enceinte

Existe-t-il des positions idéales pour tomber enceinte ? Non pas vraiment, en revanche certaines d’entre elles sont recommandées alors que d’autres sont à éviter. Découvrez les 5 positions pour tomber enceinte. Il est préférable de choisir des positions à pénétration profonde et éviter celles où vous êtes au-dessus de votre partenaire. Mais, pour tomber enceinte, rien de tel que faire l’amour et souvent !  Et de prendre du plaisir car l’orgasme faciliterait la migration des spermatozoïdes à l'utérus.

 

Le classique missionnaire

Le classique missionnaire

Un grand classique du genre ! Vous êtes allongée sur le dos, votre partenaire vous fait face. Pour augmenter l’angle de pénétration,  mettez vos jambes sur les épaules de votre partenaire ou pratiquez la position de la grande ouverture. La femme est allongée sur le dos. Elle serre les jambes et soulève les cuisses assez haut pour ouvrir son sexe. L'homme est à genoux devant elle, et lui tient les jambes sur le côté pour la pénétrer.
 

 L’animale levrette

L’animale levrette

Vous êtes à quatre-pattes. Votre partenaire vous pénètre par derrière. En plus d’être une position excitante, la levrette vous offre un bon angle de pénétration. Pour l’augmenter, penchez-vous un peu plus en avant  pour kidnapper les spermatozoïdes !


La douce cuillère

La douce cuillère

Vous êtes allongée, les jambes repliées contre votre ventre. Votre partenaire est derrière vous. L'angle de pénétration est optimal. Pour augmenter la chance de tomber enceinte,  votre partenaire peut maintenir la position pour favoriser l'accès du sperme à l'utérus.

Couple : on entend mieux la voix de son partenaire

Les voix familières, de notre conjoint ou de notre entourage, sont plus facilement identifiables que celles d’inconnus, selon une étude.

  Couple : on entend mieux la voix de son partenaire

L’inverse est vrai aussi. Les chercheurs de de l'université de Queen au Canada ont constaté que s’il est facile de repérer la voix de son partenaire, on l’ignore aussi plus facilement. Ingrid Johnsrude de la Queen’s University au Canada a demandé à des couples mariés âgés de 44 à 79 ans de s’enregistrer dans un micro en lisant un texte. Ensuite, chacun des participants a écouté le texte enregistré par son partenaire mais sa voix était recouverte par une autre venant d’une personne du même sexe et du même âge. L’exercice a consisté alors à reconnaître la voix familière et la voix étrangère d’une part puis à rapporter le contenu exact de leurs propos.  

Globalement, la voix du conjoint a été plus facilement identifiée par les volontaires et les paroles ont été rapportées fidèlement. En revanche, les résultats ont affiché de nettes différences quand il a fallu se concentrer sur le texte de la voix inconnue. Contrairement aux plus jeunes, les personnes plus âgées ont éprouvé plus de difficulté à retranscrire ses propos.

jeudi 14 novembre 2013

Couple: décryptez les gestes de votre homme


Questions sans réponses, compliments qui tombent à plat, indifférence...entre votre homme et vous, la communication n'est pas toujours au top. Nos conseils pour décrypter le langage de votre conjoint et rétablir le dialogue. 
 
 Vie de couple 

Couple: il ne comprend jamais rien
Comment ça se passe:
« Allez, on part en balade. Est-ce que tu peux prendre le manteau de la petite pendant que j’habille le bébé ?» Il sort donc, emportant dehors le mini-manteau et laissant sa fille bloquée à la maison, puisque, du coup, elle n’a plus de quoi se couvrir. Bug ! « Mais ce n’est pas possible d’être bête à ce point ! », se dit-on alors. « Bête », il ne l’est pourtant pas. 

La vraie raison:
Les hommes ont décrété qu’ils étaient incompétents dans un certain nombre de domaines, comme celui du linge en général, et de l’habillement des enfants en particulier. Faut-il y voir le signe de leur mauvaise volonté ? Que nenni ! Leur cerveau ne serait pas fait comme le nôtre, paraît-il. Pour l’expliquer, le Dr Lemoine, psychiatre, remonte jusqu’à la préhistoire. À cette époque, les hommes devaient développer une perception globale du clan pour mieux le protéger des dangers extérieurs. Les femmes, quant à elles, auraient privilégié, depuis la nuit des temps, une vision plus détaillée de leur foyer. Résultat, notre éternel homme de Cro-Magnon ne maîtrise toujours pas les subtilités domestiques. Mais la femme des cavernes que nous ne sommes plus (forcément…) refuse de l’admettre. 

Que faire ?
Pas la peine de s’énerver. Penser que l’Histoire ou la nature l’ont fait ainsi, ça aide… Surtout si l’on pense à nos propres insuffisances lorsqu’il s’agit de lire une carte routière ou de monter un jouet Kinder. Et puis, soupirer: « Mon pauvre chéri, je sais que ce n’est pas de ta faute  », c’est le prendre pour un idiot. Allez, on l’encourage.


Couple: il fait la sourde oreille
Comment ça se passe:
« Chéri, je fais la vaisselle, est-ce que tu peux descendre la poubelle ? » Pas de réponse. Au mieux, on entend un vague « oui, oui ». Et deux heures plus tard, rien n’est fait. Résultat : le ton monte et les portes claquent! 

La vraie raison:
Poussées par des exigences contradictoires, nous réagissons au quart de tour. Nous croyons être les seules à connaître les « vraies règles » des arts ménagers, mais nous revendiquons en même temps le partage des tâches. Ainsi tiraillées, nous sommes donc vite agacées par les hommes, qui ont du mal à se situer. De l’autre côté, la résistance masculine s’organise en silence et ces messieurs font mine de ne rien entendre. Une inertie qui trahirait, chez eux, une nette tendance à imiter Alexandre le Bienheureux. Et la surdité a décidément bon dos.
Tous ces accrocs du quotidien ne seraient en fait qu’un mal nécessaire, c’est-à-dire un mode d’ajustement permettant au couple de construire une culture conjugale qui lui est propre. Dixit Jean-Claude Kaufmann, sociologue. D’accord, mais de là à se disputer tous les soirs pendant vingt ans…

Que faire ?
On essaye d’abord d’être patiente, car l’autre n’a pas à obéir au doigt et l’œil: fierté masculine oblige. Ensuite, on a le droit de « pousser une gueulante » s’il se défile trop souvent (le psychiatre n’est pas contre). Pour gérer le long terme sans se faire la guerre, mieux vaut établir un traité définissant avec précision les tâches de chacun, quitte à le renégocier régulièrement en temps de paix.

Couple : comment lui donner envie de s’engager

Vous filer un bonheur parfait avec votre compagnon. Enfin presque parfait... Une ombre plane sur votre relation de couple : il ne veut pas s’engager. Comment lui en donner l’envie ?

Pourquoi l’homme a-t-il peur de s’engager ?

Vous vous aimez. Vous passez de bons moments ensemble. Mais vous vivez chacun chez soi. Au début ça vous convenait puisque vous aviez besoin de mieux connaître l’autre avant d’aller plus loin. Maintenant vous désirez passer à la vitesse supérieure. Un jour, vous lui avez demandé : "Et si on vivait ensemble ?" Au lieu de la réaction enthousiaste que vous attendiez, vous avez eu droit à un "non" catégorique. Non, monsieur n’est pas prêt à s’engager.
Le couperet est tombé. Sous le choc, vous vous interrogez : m’aime-t-il vraiment ? Ne suis-je pas la femme avec qui il a envie d’avancer ?
Plutôt que de vous poser une avalanche de questions, il importe d’éclaircir les causes de ce refus avec votre partenaire. En effet, ce n’est peut-être pas son amour pour vous qui est en cause mais sa peur de sauter le pas.
"Les hommes ont besoin de plus d'autonomie"
Contrairement à ce que nous les femmes pensons souvent, la peur de l’engagement n’est pas l’apanage de l’homme. "Tout le monde a peur de s’engager", explique Jean-Claude Kaufmann, sociologue et spécialiste du comportement des couples. Mais on voit néanmoins une différence entre les hommes et les femmes, concède notre spécialiste : "Les hommes peuvent très bien rester de grands adolescents jusqu’à 50 ans et vouloir vivre en célibataire pour préserver leur jeunesse". Les femmes elles, ont l’âge butoir de l’horloge biologique vers 30-35 ans, un âge autour duquel l’envie d’avoir un enfant se manifeste, ce qui crée logiquement ce besoin d’engagement.

La frilosité de certains hommes à s’engager avec une femme, à faire des projets communs (vivre ensemble, partir en vacances, etc) peut avoir différentes origines : une déception amoureuse qui a engendré une peur d’un nouvel échec, un manque d’amour ou encore une peur de perdre son indépendance ou son autonomie. "Dans la vie de couple, les hommes sont davantage tournés vers l’autonomie et ont en général besoin de plus de respiration personnelle", confirme Jean-Claude Kaufmann.

Couple : ce qui nous rend (vraiment) heureuse en amour

On est romantique… mais réaliste. Si nous fondons de grands espoirs sur notre vie amoureuse, nous tentons, tant bien que mal, de réconcilier nos rêves avec la réalité. Comment vivre avec nos contradictions et petits conseils pour les dépasser.

 

Heureuse en amour : fidélité, complicité et projets

Comme c’est beau ! On pense massivement que l’amour peut durer toute la vie (67 %) ! On reconnaît bien là la lectrice de contes de fée mais, pas si vite ! Quand on évoque les secrets de longévité du couple, ce n’est pas la passion que nous citons en premier. Nous sommes bien conscientes que, dans l’amour, il n’y a pas que l’amour. Les vrais atouts seraient plutôt la confiance, la fidélité, la complicité et les projets de vie partagés. Catherine Solano salue ce réalisme : "Compter sur ces points forts est le meilleur moyen de bâtir une relation solide". Sauf que ces critères raisonnables ne suffisent pas et ne nous mettent pas à l’abri d’une séparation (73 % d’entre vous l’affirment). Mais qu’est-ce qui cloche à la fin ?

Heureuse en amour : sus à la routine !

Ce qui ne va pas, dans la vie à deux, ce serait un peu… la vie à deux. Ainsi, nous détestons la routine (57 % d’entre nous) et notre partenaire nous agace (35 % supportent mal ses défauts). Il est où notre prince, sans lequel on ne pensait pouvoir vivre ? Nulle part, dirait le philosophe Nicolas Grimaldi. "Le véritable secret de la personne aimée, c’est qu’elle n’existe pas. Nous l’avons inventée au tout début de l’histoire quand la foudre nous aveuglait". 

Pas facile de nous accommoder ensuite de l’homme normalement imparfait, au rythme du train-train. Ça nous mine ! On claque la porte ? Allez, on fait encore un effort. Nous sommes près de 70 % à chercher des solutions en cas de crise avant de jeter l’éponge. Finalement, on espère toujours que notre histoire puisse durer. Plutôt rassurant, mais quel chaos émotionnel ! D’après le sociologue Jean-Claude Kaufmann, nous tendons vers un romantisme tempéré qui fait souffler le chaud et le froid. Cela se traduit d’un côté par notre envie de vivre des moments de folie avec notre chéri, de l’autre, on a tendance à l’évaluer du coin de l’œil.
Sur Internet, on éjecte un prétendant en un clic lorsqu’il ne remplit pas toutes les cases et, dans la vie, on voudrait pouvoir cocher tous les jours les mentions "homme investi, toujours à l’écoute, tendre, disponible, bon père, beau si possible, (riche ?)". C’est là que ça se complique.

Couple: êtes-vous encore amoureuse?

Vous vous interrogez sur votre couple et cous avez envie de faire le point? Pour savoir où vous en êtres, répondez sans détour à nos questions. Un peu, beaucoup, à la folie... ou plus du tout: l’heure du bilan a sonné!

 

Couple: votre conjoint est-il si important pour vous?

Certes, vous vivez ensemble. Mais, au fond, est-ce par habitude ou par choix ? Il est normal qu’une certaine routine ait ga­gné votre vie commune, mais pas au point de masquer vo­tre intérêt pour votre compagnon, et même de le faire disparaître.

Couple : comment le redynamiser

Si l'on ne remet pas, de temps en temps, de l'essence dans le moteur, toute relation finit par végéter, puis dépérir. Ne laissez pas votre couple s'enliser. Et si le mal est déjà fait, il est encore temps de réagir !
 

Positivez vos griefs

On le sait, au quotidien, le couple, ce n'est pas Hollywood tous les jours ! Mais pourquoi se contenter de peu, laisser le champ libre à l'apathie ou à l'amertume ? Car il est tout à fait possible de transformer la griserie des débuts en un sentiment profond, sécurisant et tout aussi satisfaisant. Qu'il s'agisse de traiter en prévention ou de rectifier le tir pendant qu'il en est encore temps, une seule formule magique : la motivation !

On voit les choses de la même façon
Impossible. Notre histoire, notre éducation étant différentes, nous n'avons pas les mêmes valeurs. Il n'y a rien de plus excitant qu'un partenaire qui enrichit notre vie au lieu de simplement la refléter. Mais pourquoi l'un ou l'autre devrait-il sacrifier ses convictions ? Le tout est d'accepter nos différences sans en faire des sources de conflit. Si vous pensez que vos idées sont les seules valables, votre façon de faire la seule acceptable, votre amour risque de se transformer en lutte de pouvoir. N'est-il pas idiot de s'attacher à avoir raison plutôt qu'à être heureux ?

On doit éviter les disputes
Non, trois fois non ! Affirmer vos positions, faire part à votre conjoint de ses comportements qui vous déplaisent, c'est très sain. Les disputes s'avèrent parfois bénéfiques : elles permettent de communiquer à l'autre ses pensées. Mais il y a manière et manière. Version empoisonnée : vous vous transformez en tigresse ou appuyez là où ça fait mal. Le résultat est le même : l'autre se sent rejeté, abandonné, humilié. Et c'est l'escalade. Vous pouvez discuter ensemble sans que l'un de vous deux ne soit réduit en miettes.

Réconciliation sur l'oreiller : faut oser!

Le conflit dans le couple, c’est le piment qui relance la flamme sur l’oreiller. Les hommes apprécient ce moyen de mettre un point d’orgue à la tension. Mais les femmes, elles, y trouvent-elles leur compte ?

 

Flûte, on a fait déteindre sa chemise au lavage ou oublié d’aller chercher son costard au pressing. Ou encore on a marché sur ses semis. Bref, on est rien qu’une incapable et notre chéri ne nous l’envoie pas dire ! Un détail sans importance vient de prendre une allure de guerre. Rien de tel pour nous lancer dans un mode oratoire disons… imagé, qui finirait bien, un jour ou l’autre, par nous conduire à la rupture. La vraie. Sauf que notre chéri manie à merveille le chaud et le froid.


Comme une trahison

Après une dispute mémorable, quoi de plus efficace qu’une poussée de libido pour calmer les esprits ? Imparable au masculin car le mode opératoire est finalement très physiologique (je me tends, je me détends) mais dans la tête de beaucoup de femmes, accepter une relation sexuelle après tant de violence verbale - et peut-être hélas physique - tient de la haute trahison. Très physiologique aussi : comment « s’ouvrir » à l’autre dans un tel climat ? Pourtant, elles s’y résignent voire même s’y réfugient. Pourquoi ? Parce que finalement, ça marche ! L’acte sexuel fait office de communication sur fond de tendresse, de plaisir donné et reçu, et là, quelle femme ne s’y reconnaîtrait pas ?


3 clés pour comprendre la crise